L’un d’eux refusait d’être transféré vers la maison d’arrêt de Limoges en Haute-Vienne. Hier matin, un peu avant 7h, par solidarité avec lui, ses trois codétenus l’ont aidé à bloquer la porte de leur cellule commune à Angoulême.
"Leur tentative de négociation ayant échoué, les responsables de la maison d’arrêt ont dû faire appel à l’Eris, l’équipe régionale d’intervention et de sécurité, basée à Bordeaux", explique la direction interrégionale pénitentiaire.
Formés à ce genre d’intervention, les hommes de l’Eris ont ouvert la porte de la cellule par la force en milieu de matinée.
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Les quatre détenus ont été maîtrisés et celui qui devait être transféré a été emmené à Limoges.
"Des procédures disciplinaires seront engagées contre les quatre détenus en question", confirmait hier soir la direction pénitentiaire.
Charente Libre
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